Archives de catégorie Marché de l’immobilier français

ParMarie Molandre

Les 7 grandes problématiques du logement

Le logement va mal. Qui pense le contraire aujourd’hui ? Très bien, sauf quil ne semble pas que cela change quoi que ce soit, non ? Toutes sortes de propositions intéressantes ont déjà été faites pour aider à soigner le mal. Beaucoup de bruit pour rien. Car au-delà des mots et des analyses, il manque toujours le principal : des moyens !

Problème budgétaire donc. Oui, mais si nous n’allouons pas assez de fonds au logement c’est bien que nous ne sommes pas convaincus de la nécessité de le faire, n’est-ce pas ? Après tout, s’il existait un consensus bien établi sur la question, nos politiques et gouvernants s’empresseraient d’y répondre favorablement j’espère. N’y a-t-il pas un peu d’hypocrisie collective là-dessous ? A voir !

Le site www.locamarseille.com met à votre disposition tout son savoir-faire pour vous guider à faire le bon choix.

Qu’est-ce qui fait que l’accord général sur le mal ne se traduit pas par des moyens correctement dimensionnés ?

Présentons mieux le malade pour comprendre l’étendue de son mal :

  • Les sans abrine cessent d’augmenter
  • De nombreuses personnes vivent dans des appartements trop petits, et payent trop cher leur loyer ou leur crédit immobilier.
  • L’accession à la propriété, aspiration largement répandue, est encore impossible pour une large partie de la population, y compris au sein des classes moyennes.
  • La mixité sociale, source de cohésion de notre société, se heurte trop souvent à nos contradictions.
  • Le nombre des habitations insalubres présentant un danger certain pour leurs habitants (amiante, plomb, incendie, chutes) est encore trop élevé.
  • Sur un autre plan, plus long, nos modes de vie évoluent, les couples se séparent, les familles se recomposent, ce qui modifie sensiblement les besoins en nombre et en types de logements.
  • Enfin, il faudra bien loger dignement nos parents vieillissants et leur apporter l’accompagnement affectif et médical dont ils ont besoin.

Toutes ces priorités nous interpellent en même temps, et appellent des réponses spécifiques qui ne se recoupent pas nécessairement. Autant de moyens à allouer. Mais les fonds manquent, évidemment. Et il y a tant d’autres priorités à gérer : chômage, santé, éducation, sécurité…

Difficile de choisir. Pourtant il y a forcément des cas plus simples à trancher que d’autres…

ParMarie Molandre

Le marché des résidences secondaires

En France, les résidences secondaires ne manquaient pas. C’était d’ailleurs une part très importante du marché immobilier français.

En 2011, plus de 3 millions de résidences secondaires étaient recensées en France, soit près de 10% du parc de logements du pays. Mais avec la crise, ce marché s’est complètement effondré.

La crise fait mal au marché des résidences secondaires

Depuis 2007-2008, c’est la crise, et le marché des résidences secondaires l’a bien compris puisqu’il l’a subi de plein fouet. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : les ventes ont diminué de 50%, les prix sont tirés à la baisse, généralement de 10 à 30%, et peuvent aller jusqu’à -50%.

Résidence SecondaireCes chiffres sont à prendre avec précaution. En effet, dans les zones très touristiques, la diminution des ventes est moindre… Mais est tout de même bien présente ! Or, ces secteurs, envahis par les touristes pendant l’été, sont très nombreux en France, notamment à la montagne et au large de l’Atlantique et de la Méditerranée.

Moins d’acquéreurs, beaucoup de vendeurs

Pendant la crise, c’est en effet le marché des loisirs qui a été l’un des plus touché, comme tous les secteurs « superflus », dont il est possible de se passer. Les résidences secondaires en font partie. Avec des frais d’entretien souvent très importants, les acquéreurs se font rares alors que les vendeurs sont de plus en plus nombreux. De quoi faire exploser le marché des panneaux à vendre !

Un changement des habitudes ?

Cependant, on remarque aussi un changement des habitudes générationnelles. Alors qu’auparavant, il était préférable d’acheter une résidence secondaire pour s’y rendre tous les étés, les générations actuelles ont davantage tendance à voyager aux quatre coins du monde ! Mais cela n’explique pas un effondrement si important du marché des résidences secondaires.

Cette chute des prix est cependant assez peu relayée par les agences immobilières qui semblent ne pas vouloir voir la vérité en face. Elles proposent encore souvent des annonces avec des prix mirobolants, bien au-dessus des prix du marché. L’avantage, c’est que cela évite aux propriétaires de paniquer et de vouloir vendre leur résidence secondaire avant que les prix ne baissent encore plus.

ParMarie Molandre

Renégociez votre taux d’emprunt immobilier

Les taux d’emprunt pour les crédits immobiliers sont au plus bas, il est temps de renégocier le vôtre ! Attention cependant, cette modification implique des frais et ne sera pas forcément bénéfique pour vous. Faites le point avec Immo-Actualité.

Renégociation des taux d’emprunt : rentable, selon certains critères

Renégociation des taux d'emprunt immobilierAlors que les taux d’emprunt sont historiquement bas, il peut être très tentant de se rendre à la banque dans l’optique d’une renégociation. Mais ce changement implique des frais supplémentaires. Il est donc important de vérifier si cela vous sera favorable ou non. Pour ce faire, trois critères doivent être remplis :

  1. Votre prêt doit en être à la moité de sa vie, voire moins. Par exemple, pour un prêt de 20 ans, le plus rentable est que vous en soyez à 8 ans maximum.
  2. Le capital restant à rembourser doit être encore significatif, soit plus de 50 000 euros.
  3. La différence entre l’ancien taux et le nouveau doit être d’un 1 point, ou un peu moins si votre emprunt est très important (par exemple, 0,7 point pour un emprunt de 300 000 euros).

En remplissant ces trois critères, les frais liés à la modification du taux d’emprunt seront amortis et vous ferez de réelles économies. Vous avez déjà remboursé votre emprunt et vous souhaitez vendre votre logement ? Retrouvez les panneaux à vendre sur notre site internet.

Bien calculer les frais de la renégociation du taux d’emprunt

Les frais liés à la renégociation de votre taux d’emprunt peuvent monter très vite, et c’est pour cette raison que pour être certain de faire des économies, la satisfaction des trois critères ci-dessus est nécessaire. En effet, la négociation du taux d’emprunt correspond à un remboursement par anticipation de votre prêt actuel pour en lancer un nouveau. La banque prélève donc des frais plus ou moins importants qui sont à prendre en compte.

Les économies varient selon le taux d’emprunt de départ et le taux d’arrivée, ainsi que le capital restant dû. Il faut bien sûr déduire les frais de dossier, et vous pouvez économiser jusqu’à 30 000 euros.

ParMarc Latour

Indivision : gérer librement son bien commun

L’indivision est une situation juridique dans laquelle un bien ou une somme de biens devient la propriété de plusieurs personnes. Ce mécanisme peut naître d’une succession, d’une donation ou de la dissolution d’une entreprise. En général, les bénéficiaires choisiront volontairement ce régime.

Le bien en indivision peut être mobilier ou immobilier, par exemple : de l’argent, un appartement, un titre immatériel ou une voiture. Chaque coindivisaire – propriétaire indivis – détient une quote-part de ce bien. Les proportions ne sont pas nécessairement égales.

Les actions immobilières en indivision

L’achat en indivision présente de nombreux avantages, surtout dans l’immobilier. Il permet effectivement un financement moins contraignant. Ce régime ne supporte aucun coût ni de formalités complexes. Il faut au minimum 2 personnes (concubins, parents ou amis) pour pouvoir procéder à cet acte. Lors de l’acquisition du bien, chaque acquéreur devient propriétaire de ce dernier en fonction de sa contribution financière. Ensuite, le bien sera géré par tous les coindivisaires. Ils sont également tenus des charges relatives au bien selon ses parts dans l’indivision.

Outre ce mécanisme, l’achat à plusieurs d’un bien immobilier peut s’effectuer de différentes façons : SCI (société civile immobilière), copropriété et démembrement de propriété. Cependant, l’indivision est la solution la plus adéquate pour les concubins et les partenaires de PACS.

Comment gérer son indivision ?

L’indivision est certainement un régime à prendre avec des pincettes. Pendant sa durée, certaines divergances peuvent se produire au sein des coindivisaires. De façon générale, les décisions concernant le bien sont difficiles à prendre. De ce fait, il est vivement recommandé de rédiger une convention d’indivision pour donner à ce régime une certaine stabilité. Ceci est un document rédigé par un acte notarié. Il décrit clairement le bien et la quote-part de chaque coindivisaire. Une durée d’indivision (5 ans maximum) peut également être indiquée dans le texte. Durant cette période, personne ne peut procéder à la vente du bien pour récupérer sa part, sauf évènements exceptionnels. Ce document permet véritablement une bonne organisation de la vie en indivision.

La répartition proportionnelle des frais et des bénéfices est déterminée selon le taux et la prise de participation de chaque personne. Par exemple, en vue d’un entretien du bien, si une personne avance les frais pour les travaux, les autres personnes doivent lui rembourser le montant correspondant à leur quote-part. Par ailleurs, lorsque le bien commence à générer des revenus (dans le cas d’une location d’un appartement par exemple), les coindivisaires sont imposés sur ses bénéfices.

Sortir de l’indivision : c’est possible !

Si un coindivisaire souhaite sortir de son indivision, il y a 3 solutions :

• Il peut proposer aux autres acquéreurs de mettre leur bien en vente et de se partager proportionnellement le résultat de la vente. Cette action entraîne systématiquement la dissolution de l’indivision.
• Les acquéreurs ont également la possibilité de partager entre eux la masse de biens indivis. De ce fait, chacun personne devient désormais seul propriétaire de ses biens.
• Si un coindivisaire souhaite quitter l’indivision, il peut mettre en vente ses parts aux autres coindivisaires.

Pour en savoir plus sur l’indivision, rendez-vous sur notre guide pratique : http://indivision.comprendrechoisir.com/. Pour toute interrogation, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de nos professionnels.

ParMarc Latour

Investir dans un parking

Investir dans un parking peut être rentable…

Vous cherchez à investir ? Pourquoi ne pas vous investir dans les places de parking ?

Cela ne semble présenter que des avantages. Tout d’abord, cela s’avère très rentable (jusqu’à 8% à Paris). Les places de parking se vendent entre 5 000 et 50 000 euros et peuvent générer des loyers qui peuvent aller jusqu’à 500 euros.

D’autre part, les formalités concernant l’achat et la mise en location d’un parking sont moins nombreuses que celles concernant l’achat et la mise en location d’un bien immobilier : vous aurez donc moins de chance de devoir faire face à un casse-tête juridique. Par exemple, l’engagement du locataire n’est que d’un mois renouvelable contre trois ans pour un bien immobilier. Si vous rencontrez des difficultés avec votre locataire (retard de paiement…), il vous sera ainsi plus simple d’en changer. Le régime fiscal appliqué au parking est également plus favorable : vous n’aurez à déclarer que 70% des loyers que vous avez perçus.

Enfin, le parking ne nécessite pas un entretien aussi minutieux que pour un bien immobilier. Un gain de temps, donc, qui n’est pas négligeable.

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… A condition de choisir l’emplacement avec précaution

Afin de rentabiliser votre investissement au maximum, vous devrez tenir compte de l’emplacement de la place de parking. Il est ainsi judicieux d’investir dans une zone où la demande est forte et l’offre faible. Le prix d’achat sera plus élevé, mais il sera alors possible de louer plus cher et les locataires intéressés seront probablement plus nombreux. Par exemple à Paris, il sera préférable d’investir dans les quartiers anciens dans lesquels l’offre est faible plutôt que dans les quartiers dans lesquels les immeubles neufs comprennent déjà un parking (c’est le cas par exemple de la périphérie de Paris). Dans le capitale, il faudra donc viser le centre.

Vous chercher un parking à acheter ? Il existe de nombreuses offres sur internet mais il est également possible qu’au détour d’une rue, vous découvriez un parking orné d’un panneau à vendre ! Alors ouvrez l’œil, le parking de vos rêves est peut-être à côté de vous.

source: http://www.boursorama.com/actualites/investir-dans-un-parking-se-revele-tres-rentable-550d10b092d082c61f63d37b477e6a3c#.Ue5D7raYAhU.facebook

ParMarc Latour

Investissez en sécurité dans l’immobilier

Un marché opaque

Plus que jamais, l’immobilier est un secteur qu’il convient de connaître si l’on souhaite investir. Vendre, acheter, louer un bien immobilier est une étape délicate et une erreur aux lourdes conséquences est vite arrivée. Dans cette mesure, savoir se renseigner et trouver l’information est primordial.

Les Echos publie son magazine sur l’Immobilier

magazine immo les echosLe journal les Echos publie son magazine trimestriel sur l’investissement dans l’immobilier, ce numéro est réservé à l’ISF. Selon le quotidien, les conditions pour investir dans l’immobilier sont idéales en ce moment : taux de crédit bas, baisse sensible des prix de l’immobilier, les ventes de panneaux immobiliers battent leur plein ! Dans un tel contexte, de plus en plus de gens sont désireux d’investir dans l’immobilier, sans pour autant en connaitre les bases, et c’est dans cette mesure que le magazine trimestriel des Echos est le bienvenu.
Ce dernier se focalise aussi bien sur le marché du neuf que de l’occasion, ou encore sur le logement ancien. Modes d’emplois, dispositifs de défiscalisation, investissement : l’immobilier n’aura plus aucun secret pour vous après avoir lu ce magazine.

Source : les Echos

ParMarc Latour

Immobilier à Lyon : 78.500 m2 de bureaux professionnel placés au premier trimestre 2013

immobilier lyonIncity et de Sanofi ont dopé le marché immobilier tertiaire lyonnais. Il s’agit de plus de la moitié de l’ensemble des transactions effectuées. cela représente une augmentation de plus de 60 % par rapport à l’année 2012.

La valeur locative du neuf a augmenté tandis que celle de la seconde main est restée stable. Si ces deux transactions n’avaient pas eu lieu, le bilan aurait été moins glorieux pour l’immobilier de bureaux lyonnais. Une baisse de 20% des transactions a été constatée.

Source : http://www.lyonpoleimmo.com/2013/05/02/27783/bureaux-78-500-m2-de-demande-placee-a-lyon-au-premier-trimestre/

Crédits photos : http://www.lyon-france.com/html/myonlylyon/

ParMarc Latour

ANF Immobilier investit à Bordeaux

ANF ImmobilierANF Immobilier a récemment annoncé ses excellents résultats financiers et en profite ainsi pour effectuer 3 nouveaux investissements dont un à Bordeaux. C’est avec l’Etablissement public d’aménagement Bordeaux-Euratlantique que ANF Immobilier  a conclu un accord pour un programme immobilier de plus de 50 000 m2. 

Ce complexe immobilier intégrerait :

  •  30 400 m2 de bureaux ;
  • deux hôtels de 3 et 4 étoiles  ;
  • des commerces sur plus de 400 m2 ;
  •  7 000 m2 des logements
  • des parkings avec Vinci Immobilier.

Les agences immobilières de Bordeaux vont avoir de quoi s’occuper et il ne faudra pas lésiner sur les panneaux immobiliers pour louer tous ces bureaux ! Le second investissement aura également lieu à Bordeaux et se développé par Bouygues Immobilier. Il s’agit d’un immeuble situe à coté des Bassins à Flots. Le coût sera d’environ 10 M€

Enfin, le troisième investissement immobilier de ANF sera à Marseille. Il s’agit de l’achat de deux hôtels proche de l’Arema-Vélodrome. Le coût sera d’environ 24 M€.

ParMarc Latour

83% des Français ne peuvent pas financer leur achat immobilier

L’immobilier n’est pas encore accessible pour tous

pap logoBien que le contexte immobilier soit très favorable en ce moment, avec des taux d’emprunt relativement bas, les Français rencontrent toujours de grandes difficultés pour financer leur acquisition immobilière. Voici les résultats d’un sondage immobilier réalisé par PAP. Cela entraîne donc plus de 60 % des Français à décaler leur projet d’investissent, faute de financement. Mais au-delà de ce chiffre alarmant, ce sont plus de 80% des français qui, d’une manière générale, doivent mener des démarches compliquées. Il y a beau y avoir des panneaux immobiliers à tous les coins de rue, ce n’est pas si facile pour autant !

Les raisons suivantes sont très souvent évoquées et deviennent récurrentes :

  • pour 33,5%, les revenus sont insuffisants pour prétendre à une acquisition immobilière ;
  • pour 30,5% , leur apport personnel est insuffisant.

En ce qui concerne les prestataires de crédits :

  • 73% des Français optent pour leur banque
  • 15,5% s’adressent à un courtier
  • 1,5% font jouer la concurrence et changent ainsi de banque.

42,5% des personnes n’ont sollicité qu’un seul organisme de crédits et 13% d’entre eux ont demandé à 6 organismes ou plus. Il est a signaler que 72% des sondés ont empruntés sur une durée de 15 ans ou plus. 26% ont un crédit entre 16 et 20 ans et 46% ont une durée de remboursement supérieure à 21 ans.

Source : sondage PAP « Acheter un bien immobilier : le financement », réalisé du 29 janvier au 1er mars 2013 auprès de 1.113 personnes > pap.fr

ParMarc Latour

ACE Crédit et SeLoger.com sont désormais partenaires

ACE Credit LogoACE Crédit et SeLoger.com ont conclu un partenariat exclusif pour leurs activités de courtage en crédits immobiliers. ACE est courtier en crédit immobilier depuis 1995. Le très célèbre site immobilier SeLoger.com lui a tout récemment confié l’exclusivité de ces offres sur ce segment de marché. ACE Crédit possède 47 agences en France dont 10 en Ile-de-France. Ce partenariat avec SeLoger.com va lui permettre de réaliser des demandes de simulation de crédit ou d’étude de dossier des visiteurs de ce site web. En janvier 2013 SeLoger.com a annoncé plus de 20 millions de visites sur le mois ! C’est un record pour le french web…

Il faudra tenter un jour un partenariat avec des spécialistes des panneaux immobiliers. Les agences immobilières pourraient ainsi mutualiser leur besoins pour réduire les coûts.

Ainsi, SeLoger.com souhaite convertir le trafic généré en offrant aux internautes un service de courtage en crédit immobilier sérieux, fiable et efficace. C’est, selon eux, ACE Crédit qui répond le mieux aux critères demandés pour ce partenariat exclusif.

Source : http://tempsreel.nouvelobs.com

ParMarc Latour

L’immobilier à Bordeaux se porte bien

 

Dans une interview accordée à lexpress.fr,  Jean-François Hirigoyen, agent Guy Hoquet sur Bordeaux indique que le marché se porte bien, surtout dans l’hyper centre. Il stipule également que les prix ne baisseront pas ou peu, et cela est dû à une forte demande des investisseurs. Ce sont surtout les petites surfaces qui ont la cote. Selon lui, depuis le trimestre dernier, il n’y a pas beaucoup de changement à constater. Une des explications proposées par Jean-François Hirigoyen consiste à dire que les investisseurs préfèrent en ce moment, la pierre aux placements immobiliers divers. C’est donc pour cela que l’on voit de nombreux panneaux immobiliers fleurir dans le centre ville.

Dans le centre de Bordeaux, les prix atteignent  4.500 euros le mètre carré ! Cela reste donc une valeur sûre pour cet expert. Apparemment, les prix de l’immobilier à  Bacalan seraient plus abordables.

Source : http://votreargent.lexpress.fr

ParMarc Latour

IMMO REGION propose un sondage en Alsace

Immoregion.fr nous propose de découvrir une étude récemment réalisée en Alsace. Celle-ci nous apprend que 55% des Alsaciens tentent d’épargner pour investir dans un bien immobilier. ImmoRegion est un portail d’annonces immobilières de cette région. Ce sondage est basé sur les déclarations des internautes utilisant ce site web.

Voici les questions posées :

– « Quelles sont les tendances en matière d’achat immobilier ? »
– « Epargne-t-on encore malgré la crise ? »
– « A qui fait-on le plus confiance pour avoir un avis sur l’immobilier ? »

Avec cela, on doute que les ventes de panneaux immobiliers vont décoller en Alsace !

Les réponses nous apprennent que :

  • en Alsace, 44.4%  consultent immoRegion.fr pour surveiller le marché ;
  • ce chiffre descend à 33.7% en Lorraine ;
  • 25.9% hésitent entre la location et l’achat.
  • 31.6% des sondés lorrains sont intéressés par le prêt immobilier ;
  • 18.5% des Alsaciens souhaitent contracter un prêt dans les mois à venir.

Notre blog immobilier vous rappel que pour louer ou vendre votre bien vous pouvez utiliser des panneaux à louer ou des panneaux à vendre.

Ce sondage a eu lieu du 22/01 au 06/02/2013.