Archive mensuelle juillet 25, 2013

ParMarc Latour

Indivision : gérer librement son bien commun

L’indivision est une situation juridique dans laquelle un bien ou une somme de biens devient la propriété de plusieurs personnes. Ce mécanisme peut naître d’une succession, d’une donation ou de la dissolution d’une entreprise. En général, les bénéficiaires choisiront volontairement ce régime.

Le bien en indivision peut être mobilier ou immobilier, par exemple : de l’argent, un appartement, un titre immatériel ou une voiture. Chaque coindivisaire – propriétaire indivis – détient une quote-part de ce bien. Les proportions ne sont pas nécessairement égales.

Les actions immobilières en indivision

L’achat en indivision présente de nombreux avantages, surtout dans l’immobilier. Il permet effectivement un financement moins contraignant. Ce régime ne supporte aucun coût ni de formalités complexes. Il faut au minimum 2 personnes (concubins, parents ou amis) pour pouvoir procéder à cet acte. Lors de l’acquisition du bien, chaque acquéreur devient propriétaire de ce dernier en fonction de sa contribution financière. Ensuite, le bien sera géré par tous les coindivisaires. Ils sont également tenus des charges relatives au bien selon ses parts dans l’indivision.

Outre ce mécanisme, l’achat à plusieurs d’un bien immobilier peut s’effectuer de différentes façons : SCI (société civile immobilière), copropriété et démembrement de propriété. Cependant, l’indivision est la solution la plus adéquate pour les concubins et les partenaires de PACS.

Comment gérer son indivision ?

L’indivision est certainement un régime à prendre avec des pincettes. Pendant sa durée, certaines divergances peuvent se produire au sein des coindivisaires. De façon générale, les décisions concernant le bien sont difficiles à prendre. De ce fait, il est vivement recommandé de rédiger une convention d’indivision pour donner à ce régime une certaine stabilité. Ceci est un document rédigé par un acte notarié. Il décrit clairement le bien et la quote-part de chaque coindivisaire. Une durée d’indivision (5 ans maximum) peut également être indiquée dans le texte. Durant cette période, personne ne peut procéder à la vente du bien pour récupérer sa part, sauf évènements exceptionnels. Ce document permet véritablement une bonne organisation de la vie en indivision.

La répartition proportionnelle des frais et des bénéfices est déterminée selon le taux et la prise de participation de chaque personne. Par exemple, en vue d’un entretien du bien, si une personne avance les frais pour les travaux, les autres personnes doivent lui rembourser le montant correspondant à leur quote-part. Par ailleurs, lorsque le bien commence à générer des revenus (dans le cas d’une location d’un appartement par exemple), les coindivisaires sont imposés sur ses bénéfices.

Sortir de l’indivision : c’est possible !

Si un coindivisaire souhaite sortir de son indivision, il y a 3 solutions :

• Il peut proposer aux autres acquéreurs de mettre leur bien en vente et de se partager proportionnellement le résultat de la vente. Cette action entraîne systématiquement la dissolution de l’indivision.
• Les acquéreurs ont également la possibilité de partager entre eux la masse de biens indivis. De ce fait, chacun personne devient désormais seul propriétaire de ses biens.
• Si un coindivisaire souhaite quitter l’indivision, il peut mettre en vente ses parts aux autres coindivisaires.

Pour en savoir plus sur l’indivision, rendez-vous sur notre guide pratique : http://indivision.comprendrechoisir.com/. Pour toute interrogation, n’hésitez pas à vous renseigner auprès de nos professionnels.

ParMarc Latour

Investir dans un parking

Investir dans un parking peut être rentable…

Vous cherchez à investir ? Pourquoi ne pas vous investir dans les places de parking ?

Cela ne semble présenter que des avantages. Tout d’abord, cela s’avère très rentable (jusqu’à 8% à Paris). Les places de parking se vendent entre 5 000 et 50 000 euros et peuvent générer des loyers qui peuvent aller jusqu’à 500 euros.

D’autre part, les formalités concernant l’achat et la mise en location d’un parking sont moins nombreuses que celles concernant l’achat et la mise en location d’un bien immobilier : vous aurez donc moins de chance de devoir faire face à un casse-tête juridique. Par exemple, l’engagement du locataire n’est que d’un mois renouvelable contre trois ans pour un bien immobilier. Si vous rencontrez des difficultés avec votre locataire (retard de paiement…), il vous sera ainsi plus simple d’en changer. Le régime fiscal appliqué au parking est également plus favorable : vous n’aurez à déclarer que 70% des loyers que vous avez perçus.

Enfin, le parking ne nécessite pas un entretien aussi minutieux que pour un bien immobilier. Un gain de temps, donc, qui n’est pas négligeable.

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… A condition de choisir l’emplacement avec précaution

Afin de rentabiliser votre investissement au maximum, vous devrez tenir compte de l’emplacement de la place de parking. Il est ainsi judicieux d’investir dans une zone où la demande est forte et l’offre faible. Le prix d’achat sera plus élevé, mais il sera alors possible de louer plus cher et les locataires intéressés seront probablement plus nombreux. Par exemple à Paris, il sera préférable d’investir dans les quartiers anciens dans lesquels l’offre est faible plutôt que dans les quartiers dans lesquels les immeubles neufs comprennent déjà un parking (c’est le cas par exemple de la périphérie de Paris). Dans le capitale, il faudra donc viser le centre.

Vous chercher un parking à acheter ? Il existe de nombreuses offres sur internet mais il est également possible qu’au détour d’une rue, vous découvriez un parking orné d’un panneau à vendre ! Alors ouvrez l’œil, le parking de vos rêves est peut-être à côté de vous.

source: http://www.boursorama.com/actualites/investir-dans-un-parking-se-revele-tres-rentable-550d10b092d082c61f63d37b477e6a3c#.Ue5D7raYAhU.facebook

ParMarc Latour

Les biens immobiliers de Bernard Tapie

L’affaire TAPIE ne cesse de défrayer la chronique et toutes les chaînes TV ne font que relayer ses déboires avec la justice. Il n’est pas question ici d’aborder le sujet de la culpabilité, ou non, de Bernard TAPIE, mais de parler d’immobilier ! En effet, Bernard TAPIE possède de nombreux biens immobiliers, dans la capitale, dans le sud de la France mais également des moyens de transport tel qu’un jet privé et un yacht. Tout récemment, dans le cadre de l’enquête sur l’arbitrage du litige entre l’homme d’affaires et le Crédit Lyonnais, la justice française a décidé de saisir une partie de ses biens. Si ces derniers sont vendus aux enchères, il est probable que des panneaux immobiliers apparaissent sur les façades de ces biens. Faisons le point sur le patrimoine immobilier de Bernard TAPIE :

Villa « La Mandala » à Saint-Tropez

Présentée  dans l’émission Envoyé Spécial du 20 juin 2013, cette villa privée est estimée à 48 millions d’euros.

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L’hôtel particulier de la rue des Saints-Pères à Paris

Estimé à 69,3 millions d’euros, cet hôtel particulier situé au coeur de paris est d’une beauté particulière ! La photo date de 1994, époque à laquelle des huissier de justice saisissait les meubles de Bernard TAPIE dans le cadre de son litige avec le Crédit lyonnais.

Le Yacht privé nommé le  « Reborn »

Payé 40 millions d’euros, le « Reborn »  est un yacht privé magnifique !

Un jet privé

Il s’agit d’un jet privé Bombardier.

Immeubles à Neuilly-sur-Seine

Avec sa femme, Bernard TAPIE possède plusieurs biens à Neuilly-sur-Seine dont un appartement d’une valeur de 2.650.000 euros, un hôtel particulier de 15.200.000 et une maison secondaire à Combs-la-Villeeuros.

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Un appartement à Marseille

Cet appartement à Marseille est d’une valeur de 270.000 euros.
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